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Depuis plusieurs mois, il y a une effervescence indiscutable autour du statut d’entreprise à mission, en particulier dans les Pays de la Loire. Pour s’en convaincre, il suffit de visiter l'un des sites industriels de l’un des meilleurs élèves de la classe sur ce sujet, l’entreprise Cetih, à Carquefou Loire-Atlantique. "Nous sommes une entreprise engagée dans la RSE depuis 15 ans, et le statut d’entreprise à mission, obtenu en 2021, en est l’aboutissement, explique François Guérin, président directeur général de Cetih. Au quotidien, on peut toutes et tous faire des gestes sur le plan individuel pour lutter contre le changement climatique. Mais les entreprises ont un rôle déterminant à jouer à travers toutes les matières qu’elles utilisent, toute l’énergie qu'elles consomment, tous les déchets qu’elles génèrent, et tous leurs salariés qu’elles peuvent motiver. Elles ont un impact puissant." 600 entreprises à mission en France Aujourd’hui, en France, 604 sociétés sont déclarées comme entreprise à mission dont une trentaine dans les Pays de la Loire. C’est l’Observatoire des sociétés à mission qui tient les comptes au niveau national. Ce nombre peut sembler bien maigre au regard du nombre de TPE 3 millions, de PME 140 000, d’ETI 5 400 et des grandes entreprises 274 dans notre pays. Mais ces précurseurs sont en réalité les pionniers d’un mouvement plus ample d’entreprises qui s’interrogent sur la transformation de leur modèle afin de répondre au mieux aux enjeux climatiques, sociaux et sociétaux. Par ailleurs, ce statut sent encore le neuf. "Il a été mis en place avec la loi Pacte du 22 mai 2019, qui fixe le cadre juridique de ce nouveau modèle d’entreprise, prévient Anne Mollet, directrice générale de la Communauté des entreprises à mission, une association qui regroupe 400 membres entreprises, experts, chercheurs… et qui pilote l'observatoire des sociétés à mission. Le décret d’application de la loi est tout récent, publié en janvier 2020." Elle ajoute "Préparer sérieusement ce statut exige 6 mois à 2 ans d’un travail collectif." Dans ces conditions, difficile d’imaginer que des milliers d’entreprises pourraient déjà avoir endossé ce statut, sans parler du coup de frein imposé par le Covid à de nombreux projets. La vague est pour plus tard, mais pas forcément pour dans longtemps, surtout dans les Pays de la Loire. "En un an, j’ai reçu 200 demandes de témoignage, raconte Nicolas Rohr, codirigeant de Faguo, première entreprise à mission en France dans le secteur du textile. Des entreprises, dans tous les secteurs d’activité, me demandent de venir faire part de mon expérience, de leur parler de l’intérêt de ce statut. C’est monumental. Nous avons écrit un livre blanc qui explique les bases, les étapes, de la création d’une entreprise à mission. Il y a déjà eu plus de 7 000 téléchargements en quelques mois. Je ne peux pas recevoir tout le monde, je les renvoie vers la communauté des entreprises à mission." Une raison d’être et un statut juridique Ce statut d’entreprise à mission, justement, qu’a-t-il de particulier ? De si intéressant ? Quelle différence avec une politique RSE bien ficelée ? "Une entreprise à mission doit avoir une raison d’être et des objectifs statutaires qui l’obligent à agir sur le plan environnemental, social et sociétal, explique Anne Mollet. La raison d’être, ce sont quelques lignes qui apportent une réponse à des questions de fond quelle est l’utilité de l’entreprise ? Pourquoi existe-t-elle ? Quel est son impact sur la planète, sur la société ?." Cette boussole guide le dirigeant et ses salariés. Anne Mollet insiste "Chaque entreprise possède sa singularité, et sa raison d’être lui est propre, et colle à son métier, ses savoir-faire. Une entreprise de travaux publics, un cabinet de recrutement ou une compagnie d’assurances n’auront pas la même raison d’être." La raison d’être, c’est un peu la philosophie de l’entreprise. Elle grave dans le marbre le "mantra" de la société. Les objectifs statutaires sont la liste des grands chantiers à mener, de trois à une dizaine, en général. Chez Faguo, la raison d’être est écrite partout "Engager notre génération contre le dérèglement climatique." "Je donne un livret à chacun de nos nouveaux collaborateurs, explique Nicolas Rohr. La moitié du livret est consacrée à la direction artistique. L’autre à la mission." Difficile d’endosser ce statut ? "Pour nous, zéro douleur, résume le dirigeant. C’était dans notre ADN." Il lâche "Il faut éviter la raison d’être en carton." En clair, celle que l’on sera incapable d’assumer concrètement. Un statut valable pour 50 ans Du côté de B Side, agence de communication corporate nantaise, entreprise à mission depuis 2020, Marion Andro, codirigeante, avoue un essoufflement, ressenti il y a quelques années, du côté de la RSE. "On avait besoin d’un nouvel élan, de passer un cap. D’aller au-delà de trier nos déchets et d’avoir des achats responsables." C’est ce que permet le statut d’entreprise à mission, déposé auprès du tribunal de commerce. Elle insiste sur la force de l’engagement. "Quand on prend ce statut, c’est pour les 50 ans à venir, explique-t-elle. C’est l’identité profonde de l’entreprise qui est en jeu. Chez B Side, on s'est demandé ce que c'était que de faire de la communication utile. Utile pour la planète et comme agir au mieux. On s'est rendu compte que c'était auprès de nos clients, des entreprises, de leur transformation, que l'on aurait l'impact maximum. Par ailleurs, on ne s'interdit pas de dire non à un client si on estime qu'il est trop loin sur ce sujet." Un comité de mission pour être challengé Le comité de mission est un élément clé du dispositif mis en place avec le statut d’entreprise à mission. Il regroupe des salariés de l’entreprise, des actionnaires, des clients et fournisseurs, et des experts extérieurs. Ce comité compte 7 à 10 personnes. Son rôle suivre de près les chantiers en cours, les actions menées, et vérifier l’état des indicateurs sociaux et environnementaux de l’entreprise bilan carbone, plan de mobilité, rémunération des salariés, conditions de travail, etc.. En fin d’année, il rédige un rapport de mission. Nicolas Rohr, de Faguo, explique le rôle du comité de mission "Il est là pour nous placer à un niveau d’exigence élevé, nous challenger. Il est là pour s’assurer que les moyens nécessaires sont mis en œuvre pour réaliser les plans d’actions." Le niveau d’exigence peut se révéler dans le choix de l’expert du comité de mission. "J’ai choisi comme présidente de notre comité de mission Virginie Raisson-Victor ", précise François Guérin, de Cetih. Cette chercheuse pilote le Grand défi des entreprises pour la planète, une initiative qui vise à "massifier le nombre d’entreprises" vers un modèle qui répond davantage aux enjeux du développement durable. Par ailleurs, elle est la représentante du Giec Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat pour les Pays de la Loire… Mais pas de panique pour autant. "Au départ, on n’est pas forcément de bons élèves dans tous les domaines, rassure Marion Andro, de B Side. Le comité de mission observe les indicateurs et regarde si les choses s’améliorent. C’est la progression qui est importante. Pour nous-mêmes, le chantier est en cours, on défriche…" Nicolas Rohr confirme "Être une entreprise à mission, c’est un cheminement perpétuel, on n’est jamais arrivé au sommet. On a le temps de grandir." Ne pas mettre la barre trop haut Marie de Longvilliers connaît ce cheminent. Elle est la cofondatrice d’Il était plusieurs fois, une des premières sociétés à mission de la région Pays de la Loire. Cette entreprise vend des vêtements de seconde main pour les enfants de zéro à 16 ans. Elle quitte cette dernière en laissant les rênes à Aude Viaud, pour se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale avec Phillie. Marie de Longvilliers n’imagine pas un autre statut pour sa nouvelle société "Si j’ai un conseil à donner à ceux qui veulent se lancer, c’est de ne pas mettre la barre trop haut au début. Ne pas hypothéquer la réussite de l’entreprise en voulant gravir des marches trop hautes. Il faut s’engager sur des choses que l’on va pouvoir tenir. Ne pas se perdre avec des engagements qui vous imposent trop de contraintes. Une entreprise à mission, c’est avant tout une entreprise. Il faut d’abord avoir les moyens de ses ambitions." Innovation, investissement, budget En filigrane des propos de Marie de Longvilliers, se cache une idée partagée par tous les chefs d’entreprise rencontrés au cours de cette enquête la réussite de l’entreprise prime. Car elle permet d’investir dans une feuille de route ambitieuse pour l’écologie, le social et le sociétal. "Nous sommes des entrepreneurs, dit François Guérin, par ailleurs président de l'association DRO Dirigeants responsables de l’ouest. Notre activité doit être rentable, générer des bénéfices. Si l’on veut apporter du bien-être à nos salariés, leur proposer des rémunérations correctes, avoir les moyens d’agir pour la planète, il faut que l’entreprise soit saine." "La pérennité de l’entreprise est absolument essentielle, remarque Paul Bazireau, président du directoire de Charier, une ETI qui opère dans les travaux publics, basée à Couëron Loire-Atlantique. Elle est morte si elle ne dégage pas de marge. Il faut un budget pour la RSE. C’est de l’innovation et des investissements." Le nouveau siège de Charier est un bâtiment lumineux, insonorisé et passif sur le plan énergétique. Il a coûté 4 millions d’euros. Sous le parking, un système permet de récupérer la chaleur pour produire de l’eau chaude. Le revêtement de places de parking est perméable à l’eau, ce qui évite les effets de ruissellement. Vous dîtes RSE ? Pensez innovation et investissement. Organisme tiers indépendant Une fois que le statut d’entreprise à mission a été déposé, avec sa raison d’être et ses objectifs, une fois les plans d’actions mis œuvre, une fois que le comité de mission a remis son rapport, il reste une étape cruciale à franchir la vérification. L’une des pièces maîtresses intervient alors l’Organisme tiers indépendant OTI. En France, 20 entreprises ont la certification OTI, une certification délivrée par le Cofrac Comité français d’accréditation. "À part les sociétés cotées en Bourse, aucune entreprise n’a à certifier ses données RSE, explique Estelle Le Bihan, associée expert-comptable et commissaire au compte chez HLP-Audit, à Nantes, également OTI. Aujourd’hui, la nouvelle réglementation sur les sociétés à mission impose à ces entreprises un audit par un OTI, tous les deux ans pour les entreprises de plus de 50 salariés et tous les trois ans pour celles qui en ont moins de 50." Contrairement à ce qui se passe pour une entreprise lambda, qui peut raconter ce qu’elle veut niveau RSE, les OTI passent au scanner le rapport du comité de mission. "L’intervention des OTI a été mise en place pour éviter le greenwashing, prévient Estelle Le Bihan, pour que ce statut ne soit pas choisi uniquement par aubaine commerciale." Une entreprise qui afficherait des convictions écolo et solidaire peut capter l’attention de clients sensibles à ces causes très nobles ou remporter des appels d’offres sans que leur engagement ne soit sincère. "C’est une contrainte et un budget pour une entreprise à mission de faire appel à un OTI", note Estelle Le Bihan. Des indicateurs qui ne trompent pas L'engouement pour ce statut se confirme-t-il en Pays de la Loire ? "Il existe une dynamique locale, reconnaît Estelle Le Bihan. J'ai une demande d'accompagnement par semaine. Ce sont des entreprises qui veulent basculer vers ce statut. Il y a une aspiration très forte à ne plus faire comme avant. J'interviens ainsi en amont, avant l'écriture du rapport de gestion. Il est important de choisir des indicateurs simples que l'on aura envie de faire vivre." Les indicateurs ? Des critères précis pour apprécier les actions menées. L'OTI vérifie les indicateurs sociaux taux d'accident du travail, taux de turn over, entretien annuel, formation, égalité homme-femme, progression salariale, pourcentage de CDI, taux d'intérimaire… Les indicateurs environnementaux bilan carbone, achats responsables, plan de mobilité, choix de fournisseurs locaux… Les indicateurs sociétaux implication auprès d'associations, ancrage dans la vie du territoire, engagement auprès des séniors… Une remarque "lorsque la mission est portée par un stagiaire ou par le dirigeant lui-même, c'est un bon indicateur de l'investissement réel sur le sujet…" La suite ? L'OTI rend son verdict. L'entreprise à mission doit publier sur son site internet l'avis de l'OTI, pendant 5 ans, qu'il soit favorable ou non. Une personne ayant intérêt à agir peut saisir le tribunal de commerce durant cette période et demander à ce que le statut d'entreprise à mission lui soit retiré si l'avis est défavorable. "La photo de départ n'est pas forcément très belle, reconnaît Estelle Le Bihan. Mais l'important, c'est d'enclencher le processus d'amélioration. C'est cela que l'on regarde de près." Des efforts récompensés Mais cet effort peut être un avantage. "Aujourd’hui, pour les audits d’investissement et la prise de participation dans une société, le critère RSE d’une entreprise est un critère pour dire " on y va " ou " on n’y va pas ", explique Estelle Le Bihan. Idem du côté des banques qui commencent à observer ces critères non financiers pour dire oui ou non à un prêt." En d’autres termes, investisseurs et banquiers ont les yeux de Chimène pour ses entreprises vertueuses, et au pouvoir de résilience très fort. "Plusieurs études montrent que les entreprises très engagées dans la RSE résistent mieux aux crises, assure François Guérin. Leur business model repose sur le temps long, l’innovation permanente, la capacité d’adaptation et l’anticipation des crises." Pour les entreprises, l’un des intérêts les plus saillants de ce statut se situe du côté du sens. "Le rapport au travail a changé, estime Paul Bazireau, président du directoire de Charier, une entreprise qui endossera en juin le statut d’entreprise à mission. Demain, une entreprise qui ne donnera pas un sens conforme à l’intérêt général aura beaucoup de mal à recruter. Dans sa raison d’être, une entreprise à mission affiche sa contribution au bien commun." Un atout pour attirer les talents et les conserver. Il poursuit "Nous nous sommes séparés d’une partie de nos activités, l’enfouissement des déchets, parce qu’elle n’était pas en cohérence avec la stratégie et les objectifs RSE que nous menons depuis 17 ans maintenant. Lorsque l’on écrit sa raison d’être, cela nous permet de clarifier le sens que l’on donne à notre métier. Nos salariés ont le souci de leur territoire et ont le sentiment de rendre service à la collectivité. Ils sont fiers de ça." De l’authenticité et du sens "Il y a une recherche d’authenticité chez les salariés, une volonté d’alignement entre ce qu’ils sont, profondément, et ce qu’ils font, déclare Teddy Travert, cofondateurs d’Hyphae, entreprise à mission vendéenne, située du côté de Montaigu, et qui fournit des cadres pour des missions dans le secteur industriel. Dans leur travail, ils veulent s’investir au quotidien dans une mission qui va dans la bonne direction. Cela va même plus loin au-delà de l’intérêt de la mission qu’il mène, en entreprise, un grand nombre de nos salariés sont prêts à donner une journée par semaine pour donner un coup de main à une association." "Des entreprises sont arrivées à l’âge adulte, elles écrivent une nouvelle page de l’économie", estime Marie de Longvilliers. "On ne peut plus faire du business comme d’habitude, dit Marion Andro. Les enjeux se déplacent aujourd’hui. Le profit pour le profit a atteint ses limites." "Nous sommes en train d’inventer collectivement un nouveau modèle d’entreprise", résume François Guérin. Un capitalisme à visage plus humain où les conditions de travail des salariés, l’impact de l’entreprise sur la société et la planète sont assumées sans que cela obère la réussite de l’entreprise, bien au contraire." L’entreprise à mission permet de réconcilier performance économique et performances environnementales et sociales, dit Anne Mollet. Les entreprises sont au cœur des solutions." Nicolas Rohr conclut "Le monde serait moins dur s’il y avait plus d’entreprises à mission."
Siteofficiel du Comité départemental d'Athlétisme de la Vienne. ACTUALITÉS. EDITOS. ORGANISATION CD86 2020-2024. COMITE DIRECTEUR. COMMISSION TECHNIQUE. COMMISSION DES JEUNES. COMMISSION MASTERS. Informations générales sur CSE CHANTIERS DE L ATLANTIQUE Raison sociale CSE CHANTIERS DE L ATLANTIQUE Sigle Enseigne Adresse Téléphone Fax Forme juridique Comité central d'entreprise Date de création Créée le 16/08/1999 Derniers statuts à jour + de détails Capital Social SIREN 423 582 121 SIRET 423 582 121 00012 Numéro de TVA FR09423582121 Activité code APE / NAF CSE CHANTIERS DE L ATLANTIQUE, Comité central d'entreprise, a débuté son activité en août siège social de cette entreprise est actuellement situé Avenue Antoine Bourdelle - 44600 Saint-nazaireCSE CHANTIERS DE L ATLANTIQUE évolue sur le secteur d'activité Activités des organisations associatives 5Nous désignons par « Chantiers » l’entreprise Chantiers de l’Atlantique, et par « chantiers » les chantiers navals de Saint-Nazaire qui regroupent pour leur part les Chantiers de l’Atlantique ainsi que les entreprises sous-traitantes présentes sur le site. Cette précision vaut surtout pour toute la partie de ce texte qui traite des rapports de travail entre les ouvriers des
. [re-quote class= »big » tweet= »yes » width= »650px »]Vivre l’aventure Réseau Entreprendre, c’est me donner un maximum de chance de réussir mon projet, m’apporter un œil extérieur qui … nous aide à faire ce fameux pas de coté qui ouvre le champ des possibles et des solutions[/re-quote] Fabrice BREBION a repris AETIC et MIL’IN, deux entreprises spécialisées dans le conseil, la réalisation de projets, la formation et le travail à façon dans le secteur de la meunerie. L’histoire de la reprise Représentant d’une sixième génération de meunier, le parcours de Fabrice, c’est avant tout une histoire de famille. Après vingt ans d’expériences au sein de la meunerie, durant lesquelles il a pu acquérir de solides compétences techniques et managériales, aujourd’hui, il se lance dans l’aventure entrepreneuriale. Il explique De l’ouvrier meunier au responsable de site, en passant par la conduite et la réalisation de projets industriels, mon parcours m’a amené naturellement à vouloir voler aujourd’hui de mes propres ailes ». DES MEUNIERS AU SERVICE DES MEUNIERS c’est ce slogan qui m’a poussé à reprendre les entreprises liées à la meunerie AETIC et MIL’IN ». Le métier de meunier est très méconnu quand on l’évoque, bon nombre de personnes s’étonnent que cela existe encore ». La meunerie fait donc face à une pénurie de main d’œuvre et de compétences. En reprenant ces deux entreprises, Fabrice souhaite accompagner les meuniers dans leurs projets de développement en leur apportant toute son expertise et expérience. Il compte aussi trouver de nouvelles sources d’épanouissement et de nouveaux challenges C’est toujours cette quête de nouveautés et de défis qui m’a poussé vers l’avant au cours de ma carrière ». De plus, la reprise de ces entreprises à tailles humaines va lui permettre de retrouver une dimension importante à ses yeux accompagner mes clients et mes salariés dans leur projet, dans le respect de mes valeurs est aussi une source de motivation ». Pourquoi se faire accompagner par Réseau Entreprendre Atlantique ? Vivre l’aventure Réseau Entreprendre, c’est aussi me donner un maximum de chance de réussir mon projet, m’apporter un œil extérieur qui, bien souvent, propose un autre point de vue sur les situations et nous aide à faire ce fameux pas de coté qui ouvre le champ des possibles et des solutions. Je pense au final qu’entreprendre cette démarche résume parfaitement ce proverbe africain qui me parle beaucoup Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». » La stratégie à 3 ans Déjà deux personnes d’embauchées sur la société AETIC. Son but ? Constituer une équipe stable, structurée et autonome afin de bien appréhender les chantiers et développer l’aspect qualitatif des prestations. Pour MIL’IN, ce nouveau chef d’entreprise souhaite développer l’aspect commercial et la mise au point de nouveaux produits afin d’augmenter les volumes traités pour, à termes, pouvoir embaucher un meunier. Pour se faire, je cible la petite et moyenne meunerie française en apportant cette rigueur et cette qualité de conseil, de réalisation ou de formation et les entreprises qui cherchent de la valeur ajoutée avec de nouveaux produits à base de végétal. Cette création de valeur me permettra d’améliorer la rentabilité de l’entreprise ». Pour en savoir plus L’accompagnement par Réseau Entreprendre Atlantique Afin de l’accompagner dans son parcours d’entrepreneur, Fabrice sera en lien pendant 2 ans avec Jérôme BEVAN, dirigeant expérimenté de SAS RICHARDEAU. Il explique pourquoi il a accepté de suivre Fabrice J’ai eu l’occasion de rencontrer Fabrice lors de son comité d’engagement. L’homme et le projet m’ont plu et ont éveillé chez moi de la curiosité, l’envie de découvrir et de l’aider. La réciprocité est une valeur importante pour moi, j’avais eu la chance d’être accompagné par Eric CHOPOT en 2013. Cela avait été très bénéfique pour moi. J’espère donc pouvoir lui apporter mon écoute et mon partage d’expérience, que ce soit en tant qu’entrepreneur, que lauréat ».
Chantiersde l'Atlantique Shipbuilding Saint-Nazaire, Pays de la Loire Maisons des Jeunes Talents Civic and Social Organizations Paris, Île-de-France Comité français de l'UICN Non-profit Organizations Paris, Île-de-France Joyeux Restaurants Paris, Ile-de-France Groupe FM Industries-Sycrilor Retail Luxury Goods and Jewelry
Mardi 25 juin, le Tribunal d’Instance de Saint-Nazaire était amené à rendre son délibéré sur le contentieux qui oppose la CGT Navale à la direction des Chantiers de l’Atlantique cf en pièce jointe la note diffusée vendredi dernier. Deux jours avant l’ouverture des élections du CSE des Chantiers de l’Atlantique et alors que le recours a été déposé par la CGT le 25 avril, il s’agissait principalement de trancher sur la validité et la légalité du nouveau mode de répartition des effectifs sous-traitants permanents » pris en compte dans ces élections. La direction des Chantiers, à sa convenance, vient d’inventer un nouveau mode de répartition, en totale contradiction avec la réalité. Cette invention » qui relève de l’obsession et du phantasme permettrait aux patrons de la Navale de minorer lourdement l’existence ultra-majoritaire des ouvriers sur le site au moins 70 % de l’effectif total, ainsi que sa représentation, et majorer artificiellement le poids des cadres. La direction des Chantiers a multiplié les recours et contestations formelles pour gagner du temps et ne pas avoir à répondre sur le fond avant l’ouverture des élections. Le Tribunal d’Instance vient à nouveau de satisfaire à ses demandes dilatoires et malhonnêtes en se déclarant incompétent » et en renvoyant l’affaire au Tribunal de Grande Instance. Les élections au CSE des Chantiers de l’Atlantique auront donc lieu comme la direction l’avait programmé par prudence, la CGT s’y était préparée et présente des listes complètes de candidats. La CGT Navale prend acte de ces tripatouillages et a déjà mesuré les premières réactions indignées des travailleurs des Chantiers. La CGT Navale y perçoit des signes que ces basses manœuvres peuvent être contrées par la mobilisation électorale des travailleurs soucieux de la vérité et de la reconnaissance du juste poids des ouvriers au sein de la construction navale à Saint-Nazaire. Au-delà de ces élections du 27 juin, ce litige sera défendu devant le TGI à la date qu’il déterminera pour faire valoir, sur le fond, que les ouvriers sur le site des Chantiers de l’Atlantique ne sont ni invisibles ni muets. Leschantiers de l'Atlantique étendent leur suspension de production Publié le 20/03/2020 16:55 | Mis à jour le 22/03/2020 23:18 La direction des chantiers a annoncé ce vendredi 20 mars en CSE que tous les ateliers des Chantiers de l'Atlantique, y compris celui de cabines sur la zone de Brais à Saint-Nazaire, resteront fermés à partir de lundi, jusqu'au 5 avril.

Rechercher Les groupes Les commissions Les départements Présidente 93 élus vous accompagnent Christelle Morançais Présidente du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Vice-présidents 15 vice-présidents Antoine Chéreau 1er Vice-président du Conseil régional Président de la commission Territoires, ruralité, environnement, transition écologique et énergétique, eau, logement, infrastructures numériques, sécurité et santé Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Franck Louvrier 2ème Vice-président du Conseil régional Président de la commission Entreprises, développement international, numérique, croissance verte, tourisme, innovation et enseignement supérieur et recherche Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Lydie Bernard 3ème Vice-présidente du Conseil régional Présidente de la commission Agricultures, agro-alimentaire, alimentation, forêt, pêche et mer Groupe politique Union Centriste Département Vendée Isabelle Leroy 4 ème Vice-présidente du Conseil régional Présidente de la commission Culture, sports, vie associative, bénévolat, solidarités, civisme et égalité hommes femmes Groupe politique Union Centriste Département Maine-et-Loire André Martin 5 ème Vice-président du Conseil régional Président de la commission Jeunesse, emploi, formations, lycée et orientation Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Laurent Dejoie 6 ème Vice-président du Conseil régional Président de la commission Finances, ressources humaines, commande publique, affaires européennes et relations extérieures Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Roch Brancour 7ème Vice-président du Conseil régional Président de la commission Infrastructures, transports et mobilités durables Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Philippe Henry 8 ème Vice-président du Conseil régional Délégué à l'écologie - Membre de la commission Territoires, ruralité, environnement, transition écologique et énergétique, eau, logement, infrastructures numériques, sécurité et santé Groupe politique Union Centriste Département Mayenne Sandra Impériale 9 ème Vice-présidente du Conseil régional Déléguée aux lycées - Membre de la commission Jeunesse, emploi, formations, lycée et orientation Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Eric Grelier 10 ème Vice-président du Conseil régional Délégué aux entreprises - Membre de la commission Entreprises, développement international, numérique, croissance verte, tourisme, innovation et enseignement supérieur et recherche Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Claire Hugues 11 ème Vice-président du Conseil régional Déléguée aux affaires maritimes - Membre de la commission Agricultures, agro-alimentaire, alimentation, forêt, pêche et mer Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Jean-Luc Catanzaro 12 ème Vice-président du Conseil régional Délégué à la formation et à l'emploi - Membre de la commission Jeunesse, emploi, formations, lycée et orientation Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Constance Nebbula 13 ème Vice-présidente du Conseil régional Déléguée au numérique - Membre de la commission Entreprises, développement international, numérique, croissance verte, tourisme, innovation et enseignement supérieur et recherche Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Samia Soultani-Vigneron 14 ème Vice-présidente du Conseil régional Déléguée à l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation - Membre de la commission Entreprises, développement international, numérique, croissance verte, tourisme, innovation et enseignement supérieur et recherche Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Mayenne Barbara Nourry 15 ème Vice-présidente du Conseil régional Déléguée à la commande publique - Membre de la commission Finances, ressources humaines, commande publique, affaires européennes et relations extérieures Groupe politique Union Centriste Département Loire-Atlantique Secrétaires du Conseil Régional 15 secrétaires Béatrice Annereau Secrétaire du Conseil régional Conseillère spéciale au handicap auprès de la Présidente - Membre de la commission Jeunesse, emploi, formations, lycée et orientation Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Christophe Clergeau Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Loire-Atlantique François De Rugy Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Démocrates et progressistes Département Loire-Atlantique Dominique Deniaud Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Lucie Etonno Secrétaire du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Vendée Jean-Patrick Fillet Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Rassemblement national Département Vendée Béatrice Latouche Secrétaire du Conseil régional Déléguée aux mobilités et au transport scolaire - Membre de la commission Infrastructures, transports et mobilités durables Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Véronique Mahé Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Franck Nicolon Secrétaire du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Loire-Atlantique Maurice Perrion Secrétaire du Conseil régional Délégué aux politiques territoriales - Membre de la commission Territoires, ruralité, environnement, transition écologique et énergétique, eau, logement, infrastructures numériques, sécurité et santé Groupe politique Union Centriste Département Loire-Atlantique Eléonore Revel Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Non inscrit Département Loire-Atlantique Gaëlle Rougeron Secrétaire du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Loire-Atlantique Christine Tafforeau-Hardy Secrétaire du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Sarthe Matthias Tavel Secrétaire du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Sarthe Richard Thiriet Secrétaire du Conseil régional Délégué à l'industrie - Membre de la commission Entreprises, développement international, numérique, croissance verte, tourisme, innovation et enseignement supérieur et recherche Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Les élus régionaux 62 élus régionaux William Aucant Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Loire-Atlantique Julien Bainvel Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Philippe Barré Membre du Conseil régional Délégué à la jeunesse - Membre de la commission Jeunesse, emploi, formations, lycée et orientation Groupe politique Union Centriste Département Vendée Benoît Barret Membre du Conseil régional Conseiller spécial en charge de la sécurité auprès de la Présidente - Membre de la commission Territoires, ruralité, environnement, transition écologique et énergétique, eau, logement, infrastructures numériques, sécurité et santé Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Anne Beauchef Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Sylvie Beillard Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Jean-Louis Belliard Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Mahaut Bertu Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Loire-Atlantique François Blanchet Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Johann Boblin Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Gauthier Bouchet Membre du Conseil régional Groupe politique Rassemblement national Département Loire-Atlantique Michelle Brunet Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Jean-Michel Buf Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Sophie Cascarino Membre du Conseil régional Groupe politique Démocrates et progressistes Département Loire-Atlantique Anne-Gaëlle Chabagno Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Sarthe Mélanie Cosnier Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Sarthe Antoine D’Amecourt Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Anita Dauvillon Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Maine-et-Loire Gabriel De Chabot-tramecourt Membre du Conseil régional Groupe politique Rassemblement national Département Maine-et-Loire Raymond De Malherbe Membre du Conseil régional Groupe politique Rassemblement national Département Sarthe Victoria De Vigneral Membre du Conseil régional Groupe politique Rassemblement national Département Vendée Florence Desillière Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Mayenne Cécile Dreure Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Vendée Anne-Sophie Fagot Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Françoise Fontenaille Membre du Conseil régional Groupe politique Démocrates et progressistes Département Vendée Eric Fremy Membre du Conseil régional Groupe politique Démocrates et progressistes Département Maine-et-Loire Stéphane Gachet Membre du Conseil régional Groupe politique Démocrates et progressistes Département Loire-Atlantique Guillaume Garot Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Mayenne Daniel Gendry Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Mayenne Nathalie Gosselin Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée François Guyot Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Pascale Hameau Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Loire-Atlantique Ludovic Hocbon Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Stéphane Ibarra Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Vendée Hervé Juvin Membre du Conseil régional Groupe politique Rassemblement national Département Loire-Atlantique Sabine Lalande Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Loire-Atlantique Anne-Sophie Lamberthon Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Gilles Ligot Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Mayenne Roland Marion Membre du Conseil régional Délégué à la transition écologique et énergétique - Membre de la commission Territoires, ruralité, environnement, transition écologique et énergétique, eau, logement, infrastructures numériques, sécurité et santé Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Patricia Maussion Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Maine-et-Loire Evelyne Menettrier Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Solène Mesnager Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Mayenne Séverine Ordronneau Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Matthieu Orphelin Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Maine-et-Loire Armel Pecheul Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Nathalie Poirier Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Andréa Porcher Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Christophe Pot Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Éric Provost Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Valérie Radou Membre du Conseil régional Déléguée à la santé - Membre de la commission Territoires, ruralité, environnement, transition écologique et énergétique, eau, logement, infrastructures numériques, sécurité et santé Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Sarthe Bruno Retailleau Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Didier Reveau Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Sarthe Elsa Richard Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Maine-et-Loire Yamina Riou Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Arash Saeidi Membre du Conseil régional Groupe politique L'écologie ensemble Département Maine-et-Loire Alexandre Thebault Membre du Conseil régional Délégué à la culture et au patrimoine - Membre de la commission Culture, sports, vie associative, bénévolat, solidarités, civisme et égalité hommes femmes Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Claire Theveniau Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Loire-Atlantique Yveline Thibaud Membre du Conseil régional Groupe politique Aimer et Agir pour les Pays de la Loire Département Vendée Éric Touron Membre du Conseil régional Groupe politique Union Centriste Département Maine-et-Loire Céline Véron Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Maine-et-Loire Thierry Violland Membre du Conseil régional Groupe politique Printemps des Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Pauline Weiss Membre du Conseil régional Déléguée à l'égalité hommes femmes - 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\n \n comité d entreprise chantiers de l atlantique
Latradition de la cérémonie des pièces remonte à l’Antiquité (©Chantiers de l’Atlantique) Celle du Celebrity Beyond s’est déroulée en petit comité jeudi 19 novembre 2020. Depuis fin avril, le chantier d'aménagement du futur centre d'entraînement du Paris Saint-Germain sur les terrasses de Poncy à Poissy reprend progressivement. Par Thomas Richardson Publié le 22 Mai 20 à 926 Les travaux de construction démarreront une fois que les travaux de terrassement seront achevés, indique le Paris Saint-Germain. ©Thomas Richardson/ Le Courrier des YvelinesDepuis fin avril, le chantier d’aménagement du futur centre d’entraînement du Paris Saint-Germain dont la livraison est attendue été 2022 sur les terrasses de Poncy à Poissy Yvelines reprend des lieux du chantier avant le début du confinement le 17 marsLa première phase de chantier en cours comprend principalement des travaux préparatoires et d’aménagement des abords du futur centre d’entraînement Paris Saint-Germain Training Center, indique-t-on au aménagements sont portés par la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise GPS&O, le Syndicat d’assainissement de la région de l’Hautil Siarh et le Département des Yvelines. Ils comprennent notamment l’enfouissement des réseaux, l’aménagement d’une piste cyclable tout autour du futur centre d’entraînement et la réalisation d’une nouvelle route d’accès, d’environ 2 km, au hameau de la livraison est attendue d’ici la fin de l’année avant le confinement, elle était prévue en septembre.Les travaux d’aménagements paysagers avaient débuté le 29 février avec la plantation symbolique du premier des 3 000 arbres fruitiers prévus sur la première zone de compensation écologique. À noter que ces travaux de plantation n’ont pas été stoppés pendant la période de confinement, les jardiniers, effectif réduit, travaillant en plein air. Le chantier est quasiment travaux de terrassement étaient, quant à eux, en préparation. Les fouilles archéologiques préventives, placées sous la surveillance et l’autorité du Service régional d’archéologie Drac se progressive depuis la fin avrilSuite à la publication le 21 mars dernier du communiqué du ministère du Travail pour la relance des chantiers, le club a défini les contours de la reprise de l’ensemble des chantiers en lien avec les services de l’État et les en ce moment sur ActuCes dernières ont dû présenter au coordonnateur sécurité et protection de la santé CSPS et au maître d’œuvre d’exécution un plan de reprise explicitant les mesures de prévention qu’elles s’engageaient à appliquer conformément au guide de préconisations publié par l’organisme professionnel de prévention du secteur du BTP et cité dans le communiqué du ministère du aménagements, la reprise progressive de toutes les opérations, et notamment les travaux de terrassement, s’est entamée à partir de fin avril. Une fois les travaux de terrassements terminés, le chantier de construction pourra démarrer parallèlement à la poursuite des aménagements paysagers. La plantation des 3 000 arbres fruitiers est quasiment terminée. ©Thomas Richardson/ Le Courrier des YvelinesConcernant les aménagements du quartier, parallèlement au chantier de voiries mené par GPS&O *, le Département des Yvelines entame la préparation du réaménagement de la RD30 en piste mixte piétons et cycles, avec l’aménagement d’un rond-point. Le tout sera terminé d’ici la fin de l’ Paris Saint-Germain et GPS&O précisent qu’ils se laissent le mois de mai pour analyser la façon dont la reprise globale des chantiers se met en place avec ces nouvelles organisations. Un point sera fait à l’issue de cette période, lorsque les éléments de calendrier pourront être consolidés ». Pour mémoire, le Paris Saint-Germain Training Center doit être livré à l’été les fouilles archéologiques ?Le chantier des fouilles vient de reprendre, en effectif et en cadence réduits. Les conclusions seront connues Lorsque les différentes phases du chantier des fouilles ainsi que leurs études en laboratoire seront terminées, fait savoir le club. Le principal travail d’analyse des éléments relevés est opéré en laboratoire par les services de la Drac. C’est sur la base de ces analyses précises que des conclusions pourront être établies. »Poursuite de la concertation avec les riverainsDepuis le début, les riverains sont associés au suivi du projet, insiste le Paris Saint-Germain. Écoute et respect mutuels sont les maîtres mots. C’est dans ce même esprit que l’on poursuit notre démarche de dialogue et d’échange. »Ce dispositif de communication sur la phase de travaux préparatoires et d’aménagement des abords du Training Center a été défini conjointement avec toutes les collectivités partenaires. Avant chaque démarrage d’opération, les travaux sont annoncés par le maître d’ouvrage invité en réunion du comité de proximité, instance composée de 20 riverains du permanences d’information sont organisées à la Maison du projet ex-école de la Bidonnière, par le maître d’ouvrage afin de permettre aux riverains d’échanger directement avec les équipes en charge. Le comité de proximité se réunit en moyenne tous les 3-4 mois. La dernière réunion a été organisée à distance, par visioconférence, mercredi 6 mai, en présence des équipes de GPS& ces réunions, une boîte mail permet d’échanger régulièrement avec les membres du comité ou par téléphone avec le référent de quartier, également membre du des déchets à partir de cet étéLe nettoyage des déchets laissés par les Roms évacués en octobre 2017 est conduit sous maîtrise d’ouvrage du Département des Yvelines et confié à l’Établissement public foncier d’ étapes sont prévues la première concerne la zone dite passiflore », située à proximité de la nouvelle voie. Le nettoyage sera effectué durant l’été. La seconde, la zone située le long de l’A13, sera nettoyée en rens. article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre 78actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. COMITED'ENTREPRISE LA GRANDE FAMILLE Documentaire 6 minutes 37 Projet LA NAVALE FILM 6 SUR 6 Résumé : Les comités d'entreprise ont été très important dans la vie des chantiers navals de Nantes Ils ont permis d'améliorer des conditions de travail qui restaient dures. Témoin : Gérard Tripoteau Réalisation, écriture, recherches archives : Cécile Audran, Le chantier naval situé à Saint-Nazaire retrouve son nom historique, qu'il avait perdu il y a douze ans. PpEiqi.
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